Comme un 4 novembre...
Rien de gai, rien de joyeux... et rien d'estival!
OB me mange mes articles, mon boulot me mange mon temps libre et mes tracas me mangent mon sommeil... Je suis victime d'une attaque boulimique.
J'ai besoin de faire un tri grandiose... J'ai besoin de nettoyer, autant ce qu'il y a autour de moi que ce qu'il y a en moi.
J'ai besoin ...
En même temps, Brumaire revient sans avoir passé les "idor"... alors... Le temps est à l'intériorisation, au repli et à l'introspection. Je sais que la vie est faite de contraintes... mais disons que j'assimile... Je les fuis au possible... c'est mon caprice de gamine endormie, c'est comme ça! les contraintes, je ne peux pas... Alors j'ai besoin... de liberté, de bohème, d'espérance, de satisfaction... au moins au prix de sacrifices... Seulement les contraintes sont faites de sacrifices, sans retour. J'ai tellement besoin que tout soit tout beau que je préfère fermer les yeux sur le moins bien. Je ne vibre plus. Je m'éteinds. Et ça me fait peur.
Il y a des gens qui parfois nous font du mal sans s'en douter (entre autres, merci Isaac), et parfois on se fait du mal tout seul... J'ai du mal à savoir ce qui me fait du mal, de ce qui me fait du bien...
Bref... ce 4 novembre n'a rien de gai, rien de joyeux et définitivement rien d'estival...
Que cette journée soit au moins bonne pour vous...!
OB me mange mes articles, mon boulot me mange mon temps libre et mes tracas me mangent mon sommeil... Je suis victime d'une attaque boulimique.
J'ai besoin de faire un tri grandiose... J'ai besoin de nettoyer, autant ce qu'il y a autour de moi que ce qu'il y a en moi.
J'ai besoin ...
En même temps, Brumaire revient sans avoir passé les "idor"... alors... Le temps est à l'intériorisation, au repli et à l'introspection. Je sais que la vie est faite de contraintes... mais disons que j'assimile... Je les fuis au possible... c'est mon caprice de gamine endormie, c'est comme ça! les contraintes, je ne peux pas... Alors j'ai besoin... de liberté, de bohème, d'espérance, de satisfaction... au moins au prix de sacrifices... Seulement les contraintes sont faites de sacrifices, sans retour. J'ai tellement besoin que tout soit tout beau que je préfère fermer les yeux sur le moins bien. Je ne vibre plus. Je m'éteinds. Et ça me fait peur.
Il y a des gens qui parfois nous font du mal sans s'en douter (entre autres, merci Isaac), et parfois on se fait du mal tout seul... J'ai du mal à savoir ce qui me fait du mal, de ce qui me fait du bien...
Bref... ce 4 novembre n'a rien de gai, rien de joyeux et définitivement rien d'estival...
Que cette journée soit au moins bonne pour vous...!